Les dieux s’ennuient
Quelque part entre le temps et l’espace. Éris était affalée dans un profond sofa tendu de satin pourpre, aux boucles gracieuse et à l’armature fine, et dont les formes douces invitaient à un abandon lascif. Elle portait une toge carmine et suffisamment ample pour qu’elle y puisse évoluer à son aise, et suffisamment légère pour … Continuer la lecture de Les dieux s’ennuient